ADIEU FERDINAND

ADIEU FERDINAND

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Ce n'est pas un adieu à la scène mais à ce Ferdinand Faure, son alter ego, avec lequel il nous a fait vivre et revivre sa trajectoire d'homme et d'artiste. Un testament jubilatoire composé de « trois contes » en référence au titre célèbre de Flaubert.

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Dans le premier, La Baleine, Philippe Caubère, raconte la première trahison sexuelle de Ferdinand au Théâtre du Soleil. Le deuxième, Le Camp naturiste, évoque le camping de Montalivet où l'entraîne Clémence afin d'oublier l'expérience cauchemardesque de la création de Lorenzaccio.


Enfin, Le Casino de Namur où l'on retrouve Ferdinand et Bruno en plein marasme dans l'hiver belge.
Trois histoires, trois nouvelles de théâtre où l'on côtoie pour la dernière fois Ferdinand.
Un pur moment de théâtre, un feu d'artifice, un bouquet final.


Adieu, Ferdinand !
Trois contes - en deux soirées
écrits, mis en scène et joués par Philippe Caubère
après avoir été improvisés 34 ans plus tôt devant Clémence Massart, Véronique Coquet et
Pascal Caubère

PHILIPPE CAUBERE
Mise en scène